En 2014, des ex-adeptes de la communauté des Travailleuses Missionnaires s’étaient réunies en collectif(1), pour dénoncer les abus dont elles avaient été victimes(2). Cinq ont porté plainte à Caen, Paris et Versailles. Selon la Miviludes, deux autres devraient le faire prochainement. Après avoir auditionné six victimes, la Mission a mis en évidence « des éléments qui caractérisent la déstabilisation mentale ». Serge Blisko, son président, « a défendu le 10 juillet auprès de la garde des Sceaux le groupement des plaintes au tribunal de Caen » pour donner plus de chance aux victimes d’aboutir.
Groupes et mouvances
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Plaintes pour discrimination contre les Témoins de Jéhovah
L’exclusion et la mise à l’écart des ex-adeptes sont des pratiques courantes chez les Témoins de Jéhovah. Les cas de Jacques Lejeune et de Patrick Haeck en témoignent.
Guerre d’héritage
Joanne Laberge, fille unique de Lise Laberge, Témoins de Jéhovah de Gatineau (Québec) récemment décédée, conteste, devant la justice, le legs que sa mère aurait fait à sa congrégation. Elle accuse, Jean-Yves Bermond, haut responsable de l’Outaouais (région administrative du Québec) d’avoir incité Lise Laberge à signer un testament une semaine avant sa mort et d’avoir fait de sa femme sa légataire universelle. Or, Joanne Laberge affirme qu’en 2008, sa mère se sentant malade, avait repris contact avec elle après 23 ans de silence et rédigé un testament en sa faveur. La famille réclame donc l’annulation du legs pour « cause de captation et d’insanité d’esprit ».
Portes ouvertes
Deux semaines après l’importante opération de gendarmerie(1), la communauté des Douze Tribus (Tabitha’s Place)(2) a organisé une journée portes ouvertes.
La présidente d’une association de lutte contre la drogue travaillerait avec des scientologues
À Berne, la fédération de lutte contre la drogue, présidée par Andrea Geissbühler, conseillère nationale bernoise se serait associée avec la Scientologie.
Le tour de force de la Scientologie
Comme tous les ans, une délégation de la Commission des citoyens pour les droits de l’homme (CCDH), émanation de la Scientologie, a sillonné une partie de la France durant l’été(1). Entre Paris et Nantes, les cyclistes ont fait escale devant plus de 11 établissements psychiatriques pour « dénoncer les internements psychiatriques abusifs et le non-respect de la loi en psychiatrie ».
La Scientologie tente de surfer sur Lacanau
Des membres de Non à la drogue, oui à la vie, association émanant de la Scientologie étaient présents sur les plages de Lacanau lors d’une compétition de surf. Sous couvert de leur « mission » de prévention contre la drogue, les scientologues faisaient signer des pétitions, récoltant les coordonnées de personnes présentes pour l’évènement.
La Scientologie, une porte ouverte vers la célébrité ?
Robin D’Angelo et Thibaud Delavigne, journalistes pour Street Press ont mené une enquête au Celebrity Center, siège français de la Scientologie à Paris. Chaque mardi, il organise près de trois heures de scène ouverte réservée aux artistes, les « open mic ».
La CCDH s’immisce dans le vote d’une loi sur la psychiatrie
Greg Abbott, l’actuel gouverneur du Texas, a opposé son veto à un projet de loi sur la santé mentale pourtant adopté par ses collègues conservateurs à l’Assemblée législative de l’État. Selon « La Tribune du Texas », ce choix aurait été dicté par la Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme (CCDH), émanation de la Scientologie.
Le dossier « Miss Lovely »
Au début des années 1970, Paulette Cooper était une brillante journaliste. Elle a adhéré à la Scientologie pour y rejoindre un ami. Lorsqu’elle a ouvert les yeux sur l’organisation, elle s’est confiée à un magazine anglais. Le harcèlement a commencé peu de temps après… Elle a publié l’un des premiers ouvrages critiques sur le groupe, Le scandale de la Scientologie.