L’arrivée de Romana Didulo créé des tensions

La montée de Romana Didulo, autoproclamée « Reine du Canada », a pris une nouvelle tournure avec son installation dans le village rural de Richmound, en Saskatchewan. Cette figure controversée, associée au mouvement conspirationniste QAnon, suscite des tensions avec les habitants.

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Le chef d’une secte de Nouvelle-Galles du Sud interpellé

William Kamm, 73 ans, chef de culte autoproclamé, et sa compagne, Sandra Mathison 58 ans, ont été interpellés ce 11 mars et placés en détention provisoire. Ils sont accusés d’avoir « préparé » une fille, dès l’âge de 6 ans, « sélectionnée pour procréer avec le prophète ».

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La communauté tente de se réinventer

Depuis plus de 20 ans, une communauté vouant un culte aux anges et archanges, et qui serait proche de thèses apocalyptiques, vit en autarcie à Montlaur, dans le Sud-Aveyron. « Un joyau unique au monde », selon l’ordre des Esséniens qui cherche un nouveau souffle depuis le décès de son gourou « Manitara ».

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Une ancienne adepte témoigne

Ex-membre de l’organisation Kaya Team Universe, une trentenaire a accepté de se confier au journal Le Poing. Elle raconte son cheminement, de la séduction à la manipulation jusqu’à la perte de confiance en soi, au sein de ce qu’elle perçoit aujourd’hui comme une secte.

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Un prédateur sexuel condamné à 11 ans de prison

Ancien membre de l’équipe dirigeante de la communauté chrétienne de Gloriavale, Jonathan Benjamin a été condamné à 11 ans et 10 mois de prison pour agressions sexuelles sur enfants.

Déjà en détention, Jonathan Benjamin comparaissait ce 18 mars devant le tribunal de district de Greymouth pour répondre de 26 chefs d’accusation d’agressions sexuelles commises sur des enfants. Ces méfaits ont couru sur trois décennies à partir des années 1980. La plus jeune de ses proies n’avait que 5 ans à l’époque. A la barre, ses victimes l’ont décrit comme un « opportuniste profitant de la vulnérabilité des enfants pour les exploiter ». Elles ont évoqué des actes « délibérés, prémédités et planifiés » se disant aujourd’hui « blessées et brisées ». En larmes, une femme a expliqué qu’à Gloriavale, « on nous enseignait à mettre les besoins des autres avant les nôtres. On nous enseignait à ne jamais dire non »… Voilà pourquoi il a fallu attendre 30 ans pour que justice soit faite. Le tribunal, qui a entendu les remords de l’accusé mais surtout les déclarations édifiantes des victimes qui se sentent toujours impactées psychologiquement par ces agressions, a prononcé une peine de 11 ans et 10 mois de réclusion. 

(Source : RNZ, 18.03.2024)