D’anciens membres de la Kriya Lightning Foundation se confient

Kriya Lightning Foundation, ou KLF, est un jeune mouvement fondé il y a quatre ans à Hong Kong, qui compterait plusieurs milliers de membres à l’international. Se référant à des motifs et concepts hindous, le mouvement pratique des méditations de groupe pour se « guérir ».

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Les Etats-Unis de Kailasa, l’autoproclamée micronation

En février dernier, des représentants des Etats-Unis de Kailasa, pays prétendument fondé par le fugitif Nithyananda, ont assisté à deux réunions de l’ONU à Genève, en Suisse. Cette participation à ces réunions a fait la une des journaux en Inde et a été reprise dans une partie de la presse britannique.

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Le représentant de Nithyananda invité à la Chambre des Lords

La fête de Diwali, la fête des lumières hindoue, est la plus importante fête indienne de l’année. Deux ministres conservateurs Britanniques, Bob Blackman et Rami Ranger, ont organisé des célébrations au sein de la Chambre des Lords. Atmadaya, le représentant en Grande-Bretagne du gourou Nithyananda, faisait partie des invités.

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Une femme politique adepte du groupe Science of Identity Foundation

Tulsi Gabbard est une femme politique américaine. En 2021 elle marquait l’histoire en devenant la première femme née aux Samoa américaines et hindoue pratiquante à être élue au Congrès des Etats-Unis. Elle a annoncé au début du mois d’octobre quitter le parti démocrate, l’accusant d’être « hostile aux personnes croyantes et spirituelles ».

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Le docu-série « My daughter joined a cult » examine le cas Swami Nithyananda 

Le réalisateur et journaliste Naman Saraiya signe un documentaire en trois parties qui relate l’ascension, la disgrâce puis la disparition de Swami Nithyananda. Le gourou est toujours recherché mais l’organisation reste encore très active.

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Travail forcé dans une secte hindouiste

Bochasanwasi Akshar Purushottam Swaminarayan Sanstha (BAPS), une secte hindouiste présente aux Etats-Unis, est accusée d’avoir exploité des centaines de travailleurs dans ses temples américains. Ils travaillaient dans des conditions dangereuses moyennant une faible rémunération.

Les avocats des travailleurs accusent la secte d’avoir attiré des travailleurs d’origines indiennes pour travailler dans des temples partout à travers les Etats-Unis contre un salaire de 450 dollars (environ 400 euros). Exposés à la poussière et à des produits chimiques dangereux, ils travaillaient sept jours sur sept à la construction et à l’entretien des temples du groupe. Une première plainte a été déposée en mai uniquement contre le temple du New Jersey. Le même jour les autorités ont perquisitionné ce temple après le décès d’un ouvrier. Une nouvelle plainte accuse les responsables du BAPS d’avoir violé le droit du travail de l’État et le Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act, mieux connu sous le nom de RICO, créé pour lutter contre le crime organisé.

Les travailleurs auraient été introduits aux Etats-Unis en prétextant qu’ils étaient des artisans volontaires, ce qui leur permettait d’obtenir des visas religieux. Ils étaient attirés par des promesses de salaire équitable et des heures de travail correctes. Ils n’avaient pas le droit de parler aux visiteurs. Pour la plupart ils étaient issus des couches les plus basses de la société indienne.

Le BAPS entretient des liens étroits avec le Premier Ministre indien Narendra Modi, participant notamment financièrement à la construction d’un temple souhaité par Modi pour remplacer une mosquée détruite par des dévots hindous. Le BAPS est aussi connu pour avoir construit partout dans le monde d’impressionnants temples avec sculptures et fontaines qui attirent les visiteurs. (Sources : The New York Times, 10.11.2021 & Yahoo, 13.11.2021)