Sondage

En 2011, une enquête du Pew Research Center a révélé qu’un Mormon sur cinq a des doutes sur l’enseignement de leur église. On se rapproche des 30% pour les mormons âgés de plus de 50 ans qui estiment que certains éléments de leur doctrine sont difficiles à croire. Cette tendance se vérifie également chez les adeptes d’un niveau d’études supérieures. Les convertis sont plus enclins à croire l’ensemble des préceptes que les personnes nées dans la communauté.
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« Épidémie » de transes au Cameroun

Dans la localité camerounaise de Pitoa, 80 filles, âgées de 6 à 23 ans, ont été conduites à la gendarmerie afin de faire constater aux autorités l’état de transe dans lequel elles avaient été plongées. Quatre présumés « sorciers » et le chef de Waffango, village dont sont issues les jeunes filles, ont été conduits dans le bureau du commandant de gendarmerie.
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La fièvre de l’ayahuasca

France Inter a consacré son émission « La tête au carré », du 10 octobre 2013, au tourisme chamanique. Étaient invités Jean-Loup Amselle (Jean-Loup Amselle est anthropologue et ethnologue Directeur d’études à l’EHESS et rédacteur en chef des Cahiers d’études africaines.) qui vient de publier Psychotropiques. La fièvre de l’ayahuasca en forêt amazonienne et Vincent Ravalec, auteur et réalisateur, qui a témoigné dans deux ouvrages[1] de son expérience chamanique.
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Agriculture biodynamique

Un viticulteur, exploitant plusieurs hectares en Côte-d’Or selon les principes de la biodynamie, a été convoqué devant le délégué du procureur de la République du Tribunal de Grande Instance de Beaune pour avoir refusé de traiter ses vignes contre la cicadelle, insecte vecteur d’une maladie de la vigne répandue dans le nord Mâconnais, en Saône-et-Loire.
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Opération de gendarmerie dans la communauté de Sus

A la demande du Procureur de la République, les gendarmes se sont rendus dans la communauté de Tabitha’s Place à Sus (Pyrénées-Atlantiques). Ils se sont plus spécialement intéressés aux conditions de vie des enfants et à la situation administrative des adultes.

Egalement connue sous le nom d’Ordre Apostolique, la communauté de Sus compte 60 à 80 personnes, dont une dizaine d’enfants. Depuis la mort d’un nouveau né en 1997, les pouvoirs publics portent une attention toute particulière aux conditions de vie de ses membres, aux obligations légales concernant les enfants, mais aussi à la vente de ses produits qui permet à cette communauté de vivre en quasi autarcie.

Source : France Bleu.fr, 18.11.2013

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