Le mardi 12 septembre 2006, Henri de Cordes, président du Centre d’Information et d’Avis sur les Organisations Sectaires Nuisibles (CIAOSN), était invité à intervenir devant la Commission Parlementaire française sur les conséquences des pratiques sectaires sur la santé physique et mentale des mineurs.
M. de Cordes a passé en revue les différents secteurs concernés, mentionnant d’abord les risques de sévices sexuels, notamment au sein de communautés fermées. Il a ensuite abordé le refus de soins dont la transfusion sanguine, en s’attardant sur la législation qui s’y rapporte.
Cette intervention auprès des députés français, informés des problèmes spécifiques à la Belgique, a démontré que non seulement le CIAOSN demeure le « fer de lance » belge « de la lutte contre les sectes nuisibles », mais aussi qu’un même intérêt pour la thématique sectaire réunit les deux pays. Une visite des Français est désormais envisagée à Bruxelles.
Source : La Libre Belgique – Roland Planchar