Selon un sondage réalisé cet été, les personnes les plus opposées à la vaccination seraient aussi les plus favorables aux pratiques de soin non conventionnelles (PSNC).
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Les Français et les thérapies alternatives
A la suite du sondage paru au début de l’année 2022, l’Unadfi a souhaité, poursuivre l’étude de l’opinion des Français en essayant de comprendre les tenants et les aboutissants du recours aux pratiques de soins non conventionnelles. Réalisé en partenariat avec l’institut Odoxa, un sondage en ligne s’est déroulé dans le courant du mois d’avril 2023, portant sur un échantillon de 1005 personnes représentatives de la population Française âgée de 18 ans et plus.
Lire la suiteLe Family Survival Trust appelle à une meilleure protection des victimes de sectes
« Il existe une épidémie cachée d’abus sectaires au Royaume-Uni » a récemment déclaré le Dr Alexandra Stein, administratrice de la Family Survival Trust (FST). Ce constat s’appuie sur le rapport « Coercive Control In Cultic Groups In The UK » que la FST a publié en juillet 2022.
Lire la suiteLes Français et le phénomène sectaire – Sondage Odoxa / Unadfi –
Plus d’un Français sur quatre a déjà été confronté au phénomène sectaire, révèle une enquête menée en décembre 2021 par l’Unadfi en partenariat avec l’institut de sondage Odoxa, et dont les résultats viennent d’être publiés. Cette enquête a été réalisée par Internet les 21 et 22 décembre 2021 sur un échantillon de 1006 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
Lire la suiteQuelle perception ont les Français du phénomène sectaire
L’Unadfi, en partenariat avec l’institut de sondage Odoxa, a réalisé en décembre 2021 une enquête pour évaluer le niveau de connaissance du phénomène sectaire par les Français. Les résultats de ce sondage, rendus publics le 17 janvier, ont pu montrer que certaines idées reçues sont encore tenaces.
Lire la suiteLes jeunes séduits par les théories complotistes ?
Début décembre 2021, une étude réalisée par l’institut de sondages CSA pour Milan Presse a montré que 85% des 10-15 ans sont séduits par une théorie complotiste et environ un quart estime que les médias « traditionnels » les manipulent.
Pour Jérémie Peltier, directeur d’études à la Fondation Jean Jaurès et auteur de plusieurs études sur le complotisme, les jeunes sont plus exposés aux théories du complot car ils s’informent pour la plupart sur les canaux de diffusion les plus utilisés pour la diffusion de contenus complotistes. Il ajoute qu’il peut y avoir « quelque chose de gratifiant » à croire en une théorie du complot. Allant dans ce sens, la psychanalyste Claude Halmos admet qu’une des raisons qui poussent les adolescents vers les théories du complot est le sentiment de supériorité qu’elles peuvent procurer. Ce sentiment de supériorité, qui s’acquiert d’ailleurs rapidement sans avoir vraiment étudié un sujet, peut permettre de compenser un sentiment d’infériorité chez des adultes et chez les plus jeunes il exprime aussi une révolte contre un manque de reconnaissance notamment dans le cercle familial.
Ces croyances représentent un danger pour les plus jeunes compte tenu de leur fragilité. Les jeunes peuvent aussi subir l’impact de certains influenceurs ou célébrités qui font office de figure morale et d’autorité, mais répandent de fausses informations et des théories complotistes notamment sur la Covid19 sans se soucier de leur dangerosité.
Face à cette prolifération, les parents jouent un rôle important et doivent échanger avec les enfants dès leur plus jeune âge sur ces sujets. Ils doivent apporter des réponses à leurs questionnements avec discernement avant qu’ils ne choisissent d’aller chercher des explications ailleurs. L’éducation aux médias et à l’information relève de l’ensemble des adultes et en premier lieu de la famille. Le sondage prouve en effet que pour les 10-15 ans les parents restent la première source d’information.
(Sources : France Info, 03.12.2021 & 11.12.2021 & La Croix, 01.12.2021)
Regain de popularité pour l’astrologie
40 % des Français croient en l’astrologie selon un sondage mené en novembre 2020 par l’Ifop et Femme Actuelle, soit huit points de plus qu’en 2000. La proportion la plus forte étant chez les femmes et les jeunes. Lire la suite