Plusieurs facteurs expliqueraient le regain de popularité de ces pratiques.
Lire la suiteFrance
Une CPAM annonce le remboursement de plusieurs PSNC sur les réseaux sociaux
Un post publié le 13 février sur le réseau social LinkedIn par la CPAM du 77 soulignait la prise en charge possible de consultations de PSNC.
Lire la suiteUn pseudo-thérapeute interpellé pour exercice illégal de la médecine
Le praticien, qui exerçait à Antibes, ne pourra plus pratiquer la biorésonance jusqu’à son procès, prévu fin juin 2024.
Lire la suite« L’agriculture n’a rien de magique »
Une soixantaine de scientifiques et d’agriculteurs ont signé, début février, une tribune dans Le Point. Ils dénoncent l’infiltration de l’anthroposophie dans des instituts comme l’INRAE et le CNRS.
Lire la suiteUn couple de faux médecins rattrapé par la justice
Un homme de 46 ans et sa compagne de 38 ans comparaîtront, en avril prochain, devant le tribunal judiciaire de Bordeaux. Il leur est reproché « l’exercice illégal de la profession de médecin et des pratiques commerciales trompeuses ».
Lire la suiteLes associations douteuses ne semblent pas inquiéter Montpellier
Depuis plusieurs mois, Le Poing (média local) s’interroge sur la tenue d’événements « quelque peu étonnants » à Montpelier sans que la ville semble s’en inquiéter. Interrogée, la municipalité n’aurait pas souhaité répondre aux journalistes.
Lire la suiteUn prêtre exorciste sanctionné par l’Église
Suite à des plaintes dénonçant des agissements du père Emmanuel Dumont comme une forme d’emprise psychologique, le prêtre exorciste a été sanctionné par sa hiérarchie en avril 2022. L’affaire n’a été rendue publique qu’en janvier 2024.
Lire la suiteUn médecin sanctionné en appel pour avoir signé une tribune contre l’homéopathie
Suite à cette tribune, le syndicat national des médecins homéopathes (SNMHF) avait poursuivi plus de 60 signataires de la tribune pour « non-confraternité ». Parmi les sanctions de lOrdre des médecins, avaient été prononcés plusieurs avertissements, blâmes, et une suspension temporaire.
Lire la suiteUn salon bien-être douteux soutenu par la presse régionale
Un salon du bien-être prévu début mars à Nîmes a été organisé en partenariat avec le journal Midi Libre.
Lire la suite#8mars : N’oublions pas que les femmes sont les premières victimes des sectes, agissons
À l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, l’Union Nationale des Associations de Défense des Familles et de l’Individu (UNADFI) en appelle à une prise de conscience générale afin d’entraver la capacité de nuire des mouvements sectaires dont les femmes sont souvent les premières cibles.
Forte de 40 ans d’engagement, l’UNADFI et son réseau associatif dénoncent les sévices infligés aux femmes sous l’emprise des groupes sectaires et de leurs leaders. Ces femmes subissent des violations graves de leur intégrité et de leur dignité, avec un contrôle sur leur corps, leur sexualité, leur maternité et parfois même sur leurs enfants.
Maltraitées, humiliées, utilisées, et parfois même violentées ou violées, les femmes qui parviennent à quitter ces mouvements totalitaires doivent encore lutter pour retrouver leur identité et leur dignité bafouées.
Souvent considérées comme des proies consentantes, ces femmes sont comme ces femmes battues qui ne partent pas parce qu’elles sont sous emprise et ont été isolées. Ces femmes sont comme ces femmes violées qui ne portent pas plaintes parce qu’elles ont peur d’être jugées et déconsidérées par un système qui a encore des difficultés à les voir comme des victimes à part entière.
L’UNADFI et son réseau les accompagnent dans ce processus de reconstruction, offrant un soutien crucial aux victimes et à leurs familles.
Pourtant, les sectes continuent de se mondialiser, souvent dans l’indifférence des autorités publiques à travers le monde face aux violations, parfois criminelles, des droits humains, en acceptant des atteintes à la personne au nom du respect de la liberté de croyance. Cette indifférence peut être assimilée à une acceptation de ces actes insupportables. C’est ainsi que les mouvements sectaires l’entendent. Par des procédures « bâillon », ils tentent de faire taire celles et ceux qui défendent leurs victimes.
Il est temps de bouger. Il est temps que ces femmes soient entendues. Il est temps de condamner les abus commis au sein des mouvements sectaires.
L’Unadfi lance un appel pressant aux législateurs européens et nationaux : il faut investir sans réserve dans la lutte contre les agissements sectaires et mettre fin à toute forme de dérives.
Au nom de ces femmes qui sacrifient une partie de leur vie, ou parfois toute une vie, à ces organisations totalitaires, regardons ensemble dans leur direction, tendons-leur la main et montrons-leur concrètement qu’elles ne sont pas seules.