Maladie de Lyme, une aubaine pour les charlatans

La maladie de Lyme représente une menace sanitaire importante. Difficile à diagnostiquer, elle est une manne pour des thérapeutes auto-proclamés qui proposent des tests alternatifs ou des traitements dont l’efficacité est plus que douteuse. Sciences et Avenir a décidé de lancer l’alerte en publiant, dans son numéro de mai 2017, une enquête sur « le scandale des pseudo-traitements » de la maladie de Lyme.

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Un magnétiseur condamné

Le tribunal correctionnel de Grasse a condamné un magnétiseur exerçant à La Napoule (Alpes-Maritimes) pour agression sexuelle. Le tribunal a requis 18 mois de prison avec sursis, une mise à l’épreuve de deux ans et il devra verser 5 000 euros à sa victime.

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Condamnation dans une affaire de faux souvenirs induits

Le 23 mai dernier, le tribunal correctionnel de Paris a reconnu Marie-Catherine Phanekam coupable d’abus de faiblesse1. Elle est condamnée à un de prison avec sursis, 20 000 euros d’amendes et à verser 300 000 euros de dommages et intérêts aux victimes ou à leurs proches s’étant constitués parties civiles.

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Les trois personnages clefs à l’origine du Temple du Chesnay

The Deseret News (propriété de l’église mormone) a publié mi-mai un article dithyrambique sur les trois personnes qui auraient permis au temple du Chesnay de voir le jour. Selon le journal, il s’agirait de l’Évêque mormon Gérald Caussé, du maire du Chesnay Philippe Brillault, et du directeur des affaires publiques du mouvement pour la France, Dominique Calmels.

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Signature d’un nouveau partenariat

Fin mai, la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) a signé un partenariat avec l’Agence nationale du développement professionnel continu. Cette collaboration devra permettre de mieux prévenir les risques de dérives thérapeutiques voire sectaires dans les formations des professionnels de santé.

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Une vahiné plutôt « gonflée »

Le 18 avril 2017 le parquet du tribunal correctionnel de Papeete (Tahiti) a requis un an de prison ferme, un an avec sursis, un an de mise à l’épreuve, 58 000 euros d’amende et un mandat de dépôt à l’encontre de Sandra Faraire, fondatrice et dirigeante de la SARL Training Sandra Network. Elle et ses deux associées devaient répondre des chefs d’escroquerie, d’abus de bien sociaux, de banqueroute et de travail dissimulé.

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