Depuis plusieurs semaines la Ligue des droits de l’homme de l’Hérault (LDH) se mobilise pour alerter sur la tenue d’un salon du bien-être dont plusieurs intervenants sont controversés. Sous le titre « Demain c’est aujourd’hui », le salon doit se tenir du 19 au 21 mai au château de Flaugergues, un lieu privé qui a accueilli à plusieurs reprises des personnalités d’extrême droite.
Lire la suiteLes Brigandes
Villages sous emprise, une série signée Etienne Jacob, Steve Tenré et Laura Andrieu
Cet été, Le Figaro a abordé le cas de villages sous emprise dans une série en quatre volets. Les deux premiers épisodes se sont penchés sur le Village d’Eourres (Hautes-Alpes), un haut lieu de l’ésotérisme. Le troisième épisode évoque les divisions occasionnées par l’installation des Brigandes, le groupe de Joël Labruyère, à la Salvetat sur Agout (Hérault). Le quatrième et dernier épisode aborde le cas du village de Castellane et du Mandarom (Var). Dans le présent dossier nous avons traité les deux premiers volets de son enquête.
Lire la suiteDissoudre n’est pas disparaître
C’est par l’intermédiaire d’un communiqué que le groupe de musique aux accents xénophobes Les Brigandes a annoncé sa dissolution. Derrière ce groupe se cache une communauté sectaire basée à la Salvetat-sur-Agout dans l’Hérault avec à sa tête Joel Labruyère. Le groupe fait l’objet de plusieurs plaintes. Lire la suite
Ouverture d’une enquête pour assassinat
Le parquet de Namur (Belgique) a ouvert une enquête pour assassinat après le décès suspect d’une femme en 2011. Elle était membre de la Nation Libre, groupe sectaire dirigé par Joël Labruyere. Le parquet soupçonne que deux membres de la communauté l’aient étouffée. En septembre 2019, un juge d’instruction a été chargé de l’enquête. Lire la suite
Les Brigandes changent de nom mais pas de message
Dans son édition du 18 octobre 2019, le Midi Libre a consacré un dossier aux Brigandes. Le quotidien se penche sur cette communauté, son réseau, l’étendue de son implantation dans la ville de Salvetat-sur-Agout et les réactions politiques et citoyennes qu’elle suscite. Lire la suite
Nouvelle manifestation à Salvetat-sur-Agout
Fin aout 2019, des manifestants ont protesté contre la présence sur le marché de Salvetat-sur-Agout de membres du groupe de musique identitaire Les Brigandes. Ils ont trouvé face à eux des membres de la communauté venus s’opposer à cette manifestation, le tout sous la surveillance de la gendarmerie. Lire la suite
Fermeture de la chaîne YouTube des Brigandes
Les Brigandes, groupe de musique controversé aux accents nationalistes, a décidé de fermer l’ensemble de ses sites internet. Par ailleurs, le site d’hébergement de vidéos YouTube a décidé de fermer le compte du groupe. Grâce à grand nombre de clips musicaux, le groupe avait cumulé plus de dix millions de vues, se constituant ainsi une certaine notoriété au sein de la « fachosphère ». Lire la suite
Une apparition remarquée dans un clip des Brigandes
Le groupe de musique des Brigandes, soupçonné de faire partie d’une communauté dirigée par Joël Labruyère, est connu pour ses paroles xénophobes. Sortie durant le mois de juin, une nouvelle chanson rend hommage à Jean-Marie Le Pen.
Remous à La Salvetat-sur-Agout
Depuis l’installation en 2015 d’une trentaine de personnes gravitant autour du groupe musical Les Brigandes1, la commune de La Salvetat-sur-Agout (Hérault) voit sa population se diviser. Les paroles des chansons aux relents complotistes et identitaires de ce septuor exclusivement féminin ciblent les musulmans, les juifs, les homosexuels, les francs-maçons, les « gauchistes »… avec des titres sans équivoque « Foutez le camp », « Le grand remplacement », « On vous emmerde »…
Conflits sur le fief des Brigandes
Les Brigandes1, groupe de musique basé à La Salvetat-sur-Agout (34) qui s’est fait connaître sur Internet par sa prose ultra-nationaliste, sont bien protégées. Dernièrement, des proches du groupe s’en sont pris verbalement ou physiquement à plusieurs de leurs détracteurs. Le 14 novembre, Jérôme Bourbon, directeur de l’hebdomadaire Rivarol2, en a fait les frais. Il a reçu un coup de poing dans le nez après avoir reçu plusieurs courriels lui demandant de retirer une partie du dossier dénonçant le groupe, qu’il avait publié en 2016 sur son site.