Fecris, Paris, mai 2019

Organisée en collaboration avec le Centre contre les manipulations mentales (CCMM), la conférence annuelle de la Fédération Européenne des Centres de Recherche et d’Information sur le Sectarisme (FECRIS) s’est tenue à la Mairie du 3è arrondissement de Paris (France), le 17 mai 2019, sur le thème « Emprise sectaire et réseaux sociaux ».

Lire la suite

Les mouvements sectaires toujours présent

Dans un dossier du 15 octobre 2019, l’hebdomadaire Maxi, a abordé le phénomène sectaire. Le magazine parle de l’évolution du phénomène notamment de la place croissante des réseaux sociaux dans la mise sous emprise, des domaines d’infiltration de prédilection des mouvements sectaires puis de la prévention, la vigilance et l’aide fournie par les associations. Lire la suite

Le diktat du bien-être

L’injonction au bien-être est symptomatique de notre époque. Cette notion, en se fondant avec celle du bonheur, s’est progressivement muée en une idéologie que se sont appropriées toutes les classes sociales. La croyance collective selon laquelle le bien être est une nécessité vitale, une vertu primordiale, suscite une adhésion plus émotionnelle que rationnelle. Lire la suite

Internet, une aubaine pour les gourous

Une série de cinq articles, proposés cet été par BFMTV, abordaient la criminalité numérique. Le premier de la série était consacré au développement des sectes sur Internet, en particulier dans le champ de la santé. Profitant de la popularité croissante des « médecines douces » auprès du grand public, les pseudo-thérapeutes ont compris l’intérêt de s’approprier tous les moyens offerts par le web et les réseaux sociaux pour toucher un maximum de personnes afin de vendre leurs thérapies, mais aussi pour recruter et endoctriner de nouveaux membres. Lire la suite

Kundalini yoga : une mode dans le circuit de la mode

Le yoga kundalini a trouvé un milieu propice à son développement : les studios branchés, le monde de la mode. Ce sujet devenu récurrent prend encore davantage son essor grâce aux réseaux sociaux comme Instagram. Présentée comme ancestrale, limite folklorique, cette pratique semble davantage s’inscrire dans la nébuleuse « mystico-new age ».

Lire la suite