Le coronavirus comme déclencheur de prise de conscience

Pour de jeunes israéliens issus de familles ultra-orthodoxes, les confinements décrétés par les autorités israéliennes ont été un révélateur de la rigueur de la vie dans leur communauté et les ont poussés à fuir et à chercher de l’aide. L’organisation Hillel les accueille et oeuvre à leur réinsertion. Lire la suite

Enquête ouverte par le Parquet de Paris

Le Parquet de Paris a ouvert une enquête à l’encontre de l’Institut francophone de théologie de Jérusalem (IFTJ) et de son dirigeant Jacques Elbaz, un pasteur pentecôtiste membre des Assemblées de Dieu, suite à des soupçons d’abus de faiblesse. Lire la suite

Le négationnisme, première théorie du complot ?

« Avec la mort de Robert Faurisson, c’est l’idéologue du négationnisme français qui disparaît ». Les Idées Claires, programme hebdomadaire produit par France Culture et France info destiné à lutter contre les désordres de l’information, des infox, fake news et autres idées reçues, a brillamment traité le sujet du négationnisme devenu le premier des complots contemporains.

Valérie Igounet, historienne et directrice adjointe de Conspiracy Watch, spécialiste du négationnisme et de l’extrême-droite en France le confirme : « c’est la première théorie du complot puisqu’elle apparaît trois ans après la fin du génocide juif c’est-à-dire en 1948, l’année de la création d’Israël ». Pour les négationnistes, les Juifs ont fait croire à leur extermination pour créer l’Etat d’Israël.

La thèse de Faurisson consistant à nier l’extermination des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale n’est pas morte avec lui pour autant. Robert Faurisson est parvenu à médiatiser sa thèse négationniste grâce, notamment au journal Le Monde ou à des personnalités comme Jean-Gabriel Cohn-Bendit.

Alors que les historiens ou les scientifiques amassent des documents et les font parler, les négationnistes (comme tous les théoriciens du complot) trient sur le volet documents et témoignages qui corroborent ce qu’ils veulent faire entendre.