Selon une étude réalisée auprès de quelque 2.000 familles et publiée récemment dans la Revue canadienne de pneumologie, 13 % de ces familles ont déclaré avoir eu recours aux thérapies parallèles, notamment les compléments vitaminés, l’homéopathie et l’acupuncture.
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Psychothérapie
Les chiropraticiens viennent d’obtenir leur autorisation d’exercice
Les praticiens justifiant d’un titre de chiropracteur sont autorisés à pratiquer des actes de manipulation et de mobilisation manuelles, instrumentales ou assistées mécaniquement, directes ou indirectes, avec ou sans vecteur de force… Ils exercent dans le respect des recommandations de bonnes pratiques établies par la Haute Autorité de santé.
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Dérives du bien-être
A l’occasion du Salon « Forme et Bien-être », l’ADFI Aube (10) lance « un appel à la vigilance » face aux dérives constatées autour de la notion du bien-être. Son président, Jean-Christophe Stauder, livre un éclairage sur la question.
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Les sectes profitent du marché de l’épanouissement personnel
Les sectes « anciennes » ont disparu du département de l’Ain (01), constate-t-on à la permanence de l’ADFI (antenne de Bourg en Bresse). Par contre, certains mouvements profitent du marché du bien-être pour vendre « de coûteux services bidons ».
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Un thérapeute condamné
L’ancien psychothérapeute nantais qui pratiquait entre 2005 et 2007 une « rééducation sexuelle » de ses patientes par auto-hypnose et se livrait à des attouchements, a été condamné fin janvier 2011, par le tribunal de Nantes, à deux ans de prison dont six mois ferme et à une mise à l’épreuve. [Il est en outre inscrit au fichier des délinquants sexuels].
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Centre Takiwasi
Dans le cadre du magazine Complément d’Enquête de France 2, qui comportait plusieurs reportages sur le thème des addictions, l’un d’eux a été tourné dans le centre Takiwasi. Situé au Pérou dans la forêt amazonienne, ce centre est dirigé par un français, le Dr Jacques Mabit.
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Crimes et châtiments : les faux souvenirs
L‘ ADFI s’intéresse depuis quelque temps aux psychothérapies abusives, en particulier celles qui s’appuient sur la théorie de la mémoire retrouvée (Voir BULLES n° 69). C’est un terrain délicat : les souvenirs prétendument retrouvés sont généralement ceux d’abus sexuels subis pendant la petite enfance. Dans l’ambiance actuelle d’indignation légitime face aux délits pédophiles, il est risqué de paraître prendre la défense de leurs auteurs.
Il existe plusieurs raisons de considérer les accusations de crimes sexuels avec beaucoup de circonspection lorsqu’elles se produisent très longtemps après l’évènement supposé. Il faut tout d’abord se demander s’il ne s’agit pas de manipulation mentale. Ensuite, ces accusations sont l’une des armes utilisées par les sectes pour intimider les proches de leurs adeptes. Enfin il s’agit d’aborder la défense de la famille au point de vue légal.
Si les crimes ne peuvent être poursuivis au-delà de la durée de prescription (10 ans après l’âge de la majorité en France pour l’inceste), c’est que le législateur a reconnu la difficulté d’apporter des preuves plus le temps passe. Or la preuve est bien ce qui fait toute la différence entre l’accusation légitime et la calomnie malveillante.
Ces problèmes sont apparus plus tôt dans le monde anglo-saxon qu’en France avec pour conséquence que dans l’Angleterre toute proche, on assiste aujourd’hui à des phénomènes apparemment contradictoires. D’une part, la presse à sensation racole le public par de véritables chasses au pédophile. D’autre part, les politiques commencent à s’inquiéter des risques sérieux d’erreurs judiciaires. La fin de l’année 2001 a vu se produire deux interventions en ce sens par des représentants à la Chambre des Lords ainsi que la première réunion d’une commission inter-parlementaire. L’inquiétude des parlementaires britanniques peut se résumer en trois points :
Le phénomène des faux souvenirs… Un vrai cauchemar
Depuis quelques années sont parvenus aux ADFI un certain nombre de témoignages révélant l’apparition en France d’un phénomène qui nous paraît constituer un véritable danger pour les familles et l’intégrité de la personne. Apparu aux Etats-Unis au début des années 80, ce phénomène est connu sous le nom de » mémoire retrouvée » ou du » syndrome des faux souvenirs « . Au cours d’une psychothérapie, des souvenirs traumatisants d’abus sexuels ayant eu lieu soi-disant durant l’enfance ressurgissent, vingt ans plus tard, à la mémoire. Pourtant, aucun de ces prétendus souvenirs d’enfance n’aurait existé avant le début de la thérapie. Ainsi, les patients, certains d’avoir retrouvé la cause de leur souffrance interne, accusent leurs parents d’inceste. S’agit-il d’une technique utilisée afin de reconstruire le passé et l’identité d’une personne dans le but de la contrôler, d’exercer son pouvoir et instaurer une relation d’emprise, de la séparer et de l’isoler de sa famille ? S’agit-il d’une dérive où l’acharnement thérapeutique, qui consiste à retrouver à tout prix dans la mémoire des souvenirs grâce à des questions suggestives, à chercher de façon intrusive une parole qui ne vient pas, à se focaliser activement sur la maltraitance et les abus sexuels, démontre une position confuse où se mêlent militantisme et fonction thérapeutique ?
Les personnes âgées victimes de maltraitance financière
Les auteurs d’un rapport rendu public sur la maltraitance financière à l’égard des personnes âgées, tirent la sonnette d’alarme. La personne âgée, fréquemment isolée, « est la victime idéale » et le plus souvent silencieuse.
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Il prétend pouvoir guérir le sida avec des plantes
Le président d’une association périgourdine, qui compte plusieurs centaines d’adhérents, va être entendu par les gendarmes « qui agissent dans le cadre de l’instruction d’une plainte contre X déposée à Paris pour exercice illégal de la médecine et de la pharmacie et mise en danger de la vie d’autrui ». Il prétend pouvoir guérir le sida grâce à un « remède » à base d’une dizaine de plantes de Madagascar.
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