Le procureur général du Delaware a décidé de poursuivre la congrégation des Témoins de Jéhovah du Sussex County pour avoir caché aux autorités des abus sexuels sur un mineur. L’état poursuit également deux « anciens » ayant eu connaissance des faits. Il les accuse d’avoir violé la loi sur le signalement obligatoire en vigueur dans cet état.
Témoins de Jéhovah
Prosélytisme dans les centres de réfugiés
Les responsables de plusieurs centres d’accueil de refugiés se sont plaints aux autorités danoises de la présence des Témoins de Jéhovah.
Justice : les tactiques abusives de la Watchtower
La juge Patricia Jenkins de Philadelphie a admis que les Témoins de Jéhovah avaient utilisé une « tactique abusive » pour retarder un procès mettant en cause les dirigeants de l’organisation dans une affaire d’abus sexuel sur mineure. Elle a également fait remarquer que « les faits indiquent clairement que la demande de transfert était le fruit de la mauvaise foi de la congrégation et des quatre témoins du comté de York ». En Californie, dans deux autres cas, la Watchtower avait refusé de fournir au tribunal des documents et des témoins, empêchant les magistrats de rendre leur jugement.
Enquête pour agressions sexuelles
Deux Témoins de Jéhovah de Terre-Neuve font l’objet d’une enquête judiciaire pour de graves allégations d’agressions sexuelles sur
une adolescente. Il s’agit d’un ancien de la congrégation et de son fils. Les faits se seraient déroulés entre 2009 et 2013.
Pas de Père-Noël pour les enfants de Reynès
Interpelé par des parents d’élèves, le maire de Reynès, commune des Pyrénées-Orientales, a bondi en apprenant qu’un père, Témoin de
Jéhovah, avait réussi à convaincre la directrice de l’école maternelle de ne pas faire appel au « Père-Noël » pour les festivités de fin d’année.
Témoins de Jéhovah : Commission royale d’Australie
La filiale australienne de la Watchtower a dû, suite aux sommations de la Commission, remettre « 5 000 documents faisant état de 1 006 fichiers relatifs à des allégations d’abus sexuels sur mineurs perpétrés par des membres de l’Eglise des Témoins de Jéhovah en Australie depuis 1950 – chaque fichier citant un agresseur différent. » Aucun de ces cas n’a fait l’objet d’un signalement aux autorités compétentes. L’objectif de la Commission est de statuer sur le relatif laxisme des Témoins de Jéhovah envers leurs membres pédophiles et de faire pression sur l’organisation pour qu’ils signalent aux autorités tous les cas connus.
Les auditions des responsables du mouvement ont mis en évidence plusieurs points de la politique de la Watchtower :
Les Témoins de Jéhovah et le « monde » : contradictions
Lors de leurs grandes assemblées de l’été 2006, « La délivrance est proche ! », les Témoins de Jéhovah (TJ) du monde entier ont adopté une résolution qui revient avec une insistance particulière sur le fait qu’ils ne font pas partie du « monde ».
Rendre obligatoire les signalements d’abus et de maltraitance sur les enfants
D’anciens membres des Témoins de Jéhovah ont appelé le gouvernement à rendre obligatoire la dénonciation d’abus sexuels sur les enfants de la communauté. La plupart des victimes de ces abus n’ont jamais vu leurs auteurs traduits en justice.
Les actes de pédophilie ne sont pas des péchés, ce sont des crimes
Louise Palmer vient de lever le voile sur son identité pour témoigner des abus sexuels qu’elle a subis dans les années 1980. Son agresseur n’est autre que son frère, Richard Davenport. Sa condamnation à 14 ans de prison, prononcée l’année dernière, es une victoire pour Louise ; mais elle continue de s’insurger contre l’attitude des membres de sa famille, adeptes des Témoins de Jéhovah, qui ont scandaleusement essayé d’étouffer l’affaire avant de la renier.
« Tout n’est pas aussi lisse qu’il n’y paraît »
Tous les Témoins de Jéhovah de Belgique ont communié à l’unisson lors de leur congrès annuel, seule occasion d’échapper au fameux porte-à-porte. Tous rassemblés dans une immense salle, leur respect subjugue. Pas un papier par terre. Pas une personne ne bouge. Même les enfants restent assis…