En 2012, la commune de Bugarach (Aude) était censée être le lieu de survie après la fin du monde. Alors qu’aucune fin du monde n’a eu lieu, le journal Libération y est retourné : un florissant business new age ne cesse de grandir.
Apocalypse
Santiniketan Park Association
Diffusé, cet été, dans le cadre du Festival international du film de Melbourne, le documentaire réalisé par Rosie Jones, « The Family », retrace l’histoire d’une communauté, qui a défrayé la chronique à la fin des années 1980. La presse est revenue sur cette histoire ayant amené la police australienne à retirer les enfants de la communauté afin de les protéger de l’influence destructrice de leur mère d’adoption, Anne Hamilton-Byrne, leader de la communauté.
Les mouvements millénaristes
L’eschatologie est au centre de nombreux mouvements. Les plus attachés à cette croyance sont les Adventistes du septième jour et les Témoins de Jéhovah.
Échec de prédiction et dissonance cognitive
En 1956, trois psychologues américains, Leon Festinger, Henry Riecken, et Stanley Schachter ont cherché à analyser comment des individus réagissaient suite à l’échec ou à la réfutation d’une croyance à laquelle ils croyaient fortement.(1) Pour cela, ils ont suivi et étudié un groupe aux croyances ufologiques et apocalyptiques.
La fin du monde n’a pas eu lieu
Alors qu’en septembre notre planète a survécu à la « lune de sang », il semblerait que le monde ait une nouvelle fois échappé à une apocalypse, prédite par un groupe chrétien de Philadelphie, Bible Fellowship, et son fondateur, Chris McCann. Ils avaient prévu l’anéantissement de la Terre par le feu le 7 octobre 2015, « jour où Dieu réunira au paradis les fruits de tous ceux qu’il a sauvés et achèvera la destruction de ceux qu’il n’a pas sauvés ».
Les mormons aussi
Face à la rumeur d’apocalypse, certains mormons ont été convaincus que la fin du monde était imminente. Leurs craintes s’appuient sur la version de la Lune de sang et sur le livre d’une mormone, Julie Rowe. Elle y décrit son expérience de mort imminente durant laquelle elle aurait eu des visions du passé et du futur.
Entre prédiction apocalyptique et théorie du complot
Octobre 2015. Il semblerait que le monde vienne d’échapper à une énième prédiction de fin du monde… Depuis plusieurs mois circulaient sur Internet les pires scenarii apocalyptiques : cataclysme climatique ou collision d’un astéroïde avec la Terre.
Une nouvelle prédiction d’apocalypse
Venus d’Ontario et de Pennsylvanie, les adeptes du prédicateur américain, Harold Camping, ont arpenté les rues de Montréal pour annoncer la fin du monde le 7 octobre 2015. Cette secte apocalyptique n’en est pas à sa première prédiction eschatologique. Harold Camping avait largement attiré l’attention en annonçant la fin du monde en 1994 et le 21 mai 2011.
Mort d’un prédicateur
Harold Camping, cet américain qui annonçait une apocalypse pour le 21 mai 2011, est décédé à l’âge de 92 ans. En 1994, il avait déjà prévu une fin du monde. à chaque apocalypse ratée, il trouvait des justificationsmais cela n’empêchaient pas ses fidèles de continuer à croire en leur prophète…
La vraie-fausse fin du monde
Harold Camping, 89 ans, est un ingénieur à la retraite qui a construit un empire radiophonique chrétien d’une valeur de plusieurs millions de dollars. Les émissions de Family Network sont ainsi diffusées dans 66 stations à travers les Etats-Unis.
