Arkéon

Le père R. C., prédicateur du vatican, a comparé les dénonciations des prêtres pédophiles de l’Eglise catholique aux « aspects les plus honteux de l’antisémitisme ». Cette sortie a provoqué l’indignation et le père a dû s’excuser auprès des victimes de la pédophilie et auprès des Juifs.
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La Soka Gakkaï

Entre 1987 et 1997, la Soka Gakkaï (SG) a fait l’objet de 4 études dans BULLES, par ailleurs ses méthodes, sa situation ont été décrites dans les 2 derniers rapports des Commissions d’Enquête de l’Assemblée Nationale.
Depuis 1997 la SGF a changé deux fois de président, son organisation, certains comportements, le style de la revue mensuelle  » 3ème Civilisation  » en ont été modifiés. Il nous a donc paru opportun de faire le point et d’analyser les spécificités de la SGF et ses recherches d’une meilleure adaptation, du moins de son image, au monde occidental.
Dans une première partie, nous évoquerons en quoi le Bouddhisme proposé par la SG est singulier puis, dans une deuxième partie, nous essaierons de préciser ce qu’est la SGF de l’an 2000.

La Soka Gakkaï propose un Bouddhisme singulier

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Brahmakumaris.info

Compte rendu de l’intervention de John Allen, ancien membre des BK, créateur et administrateur du site http://www.brahmakumaris.info lors de la conférence de la FECRIS à Pise le 12 avril 2008[Le texte intégral de cette intervention est consultable en ligne (en français et en anglais) sur http://www.fecris.org/ , rubrique «conférences».]] .

Ancien membre du mouvement Brahma Kumaris (BK), qu’il a quitté au début des années 80, John Allen a découvert comment le langage et les métaphores
traditionnelles de l’hindouisme (qu’il connaissait plutôt bien) sont utilisés par des dirigeants du mouvement pour contrôler la vie des adeptes, et tromper
universitaires et instances internationales. Ayant effectué des recherches importantes jusqu’aux origines du mouvement, il a créé un site internet répondant
à deux objectifs : un réseau d’aide et d’entraide entre membres et anciens membres d’une part, une information objective pour faire connaître le vrai visage de l’organisation d’autre part.
 

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Et les enfants… des « Enfants de Dieu » ?

Fondé aux États-Unis en 1969 par un ancien pasteur évangéliste, David Berg, qui se fait appeler Moïse David (Mol, le mouvement des Enfants de Dieu n’a cessé de se transformer au cours des années. Lorsqu’ils arrivent en France, en 1972, les adeptes se présentent comme de jeunes  » chrétiens révolutionnaires « , souriants, sympathiques, faisant passer le message évangélique par le chant et la guitare. Ils sont chaleureusement accueillis par les médias et par certaines communautés religieuses qui voient en eux un moyen moderne et efficace de gagner les jeunes à Jésus-Christ.

Et puis…

En 1978, c’est l’institution du  » Flirty-Fishing  » : les adeptes féminines sont entraînées à séduire des hommes riches et influents, pour les  » convertir  » et obtenir protection et aide financière.
_ En 1978 encore, après le massacre du Guyana, qui fait craindre des enquêtes policières, c’est le document  » Entrez dans la clandestinité  » pour y poursuivre discrètement le prosélytisme. Les Enfants de Dieu n’ont plus d’adresses : la coupure avec les familles s’accentue.
_ En 1979,  » MO  » incite au  » ministère mobile  » : vie en caravane ou en camping-car… En 1980 :  » Laissez caravanes et camping-cars et partez en Amérique Latine « . Ce qui fut fait. Des femmes enceintes, des couples avec de très jeunes enfants vivront là-bas dans des conditions tellement précaires que plusieurs demanderont à être rapatriés, avec l’aide des Consulats – et aux frais de leurs familles.
_ 1984. Rentrés en France, après un semblant d’insertion professionnelle et sociale, toujours obéissants envers leurs chefs, les voici repartis vers l’Inde, l’Indonésie, le Japon…

 

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