Le satanisme prôné par des groupes dr « musique industrielle » s’approche du luciférisme, branche libertaire du satanisme issue de la contre-culture psychédélique des années 70 et / ou l’ésotéro-occultiste de Lavey.


Dans ces deux cas de figure, le Diable (Lucifer) n’est pas une entité physique mais plutôt un porteur de « lumière » qui apporte le « feu du savoir aux hommes ». « En cela, Lucifer apparaît comme un dieu civilisateur, sa bonté paraît terrible aux yeux des hommes qui expliquent le monde à partir de valeurs différentes ». Leurs textes cautionnent le darwinisme social, doctrine qui prône que la nature est dure avec les animaux plus faibles qui servent de pitance aux prédateurs. Il est donc normal d’imiter la nature et d’éliminer les individus faibles. Ce mouvement possède un prolongement politique, souvent vers l’extrême-droite, même si peu de groupes ont un réel engagement politique.

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