
En Argentine, 43 femmes ont décidé de poursuivre l’Opus Dei en justice. Elles accusent l’organisation catholique ultra-conservatrice de les avoir piégées sous couvert de vocation religieuse et de promesse d’éducation.
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Lire la suiteDébut avril 2025, une opération d’envergure a conduit à l’arrestation de quinze individus en Argentine. Ils sont soupçonnés d’appartenir à la secte russe Ashram Shambala et d’être au cœur d’un réseau de traite humaine.
Lire la suiteA l’approche de Noël, d’anciens membres de l’Opus Dei se sont exprimés en ligne. Principalement numéraires ou assistantes numéraires, ils dénoncent tous une organisation abusive. Cette organisation qu’ils appelaient autrefois familièrement « l’Œuvre » représente aujourd’hui « l’enfer ».
Lire la suiteAprès deux ans d’une une enquête secrète et sans précédent, la justice argentine vient d’annoncer l’inculpation de cinq hauts responsables de l’Opus Dei. Ils sont accusés d’avoir soumis des dizaines de jeunes filles à la servitude. Des investigations devraient se poursuivre dans d’autres pays.
Lire la suiteMiguel « Brujo » Jimenez et Rodolfo « Rody » Segueira ont tous les deux été condamnés à la prison à perpétuité après avoir été reconnus coupables du meurtre de Marito Salto.
Lire la suiteLe mouvement baptisé BA Group, basé dans un quartier de Buenos Aires, est accusé de trafic d’êtres humains, d’abus sexuels, d’exercice illégal de la médecine, de vente irrégulière de médicaments et de vol aggravé.
Lire la suitePlus d’une quarantaine de femmes ont déposé plainte auprès du Vatican contre l’Opus Deï pour exploitation par le travail, abus de pouvoir et de conscience. Elles auraient été exploitées par l’organisation en Argentine et au Paraguay, alors qu’elles étaient mineures.
Dans leurs témoignages, ces femmes affirment avoir été contraintes de travailler pendant 12 heures par jour sans pauses sauf pour manger et prier. Elles devaient effectuer des tâches domestiques difficiles sans recevoir de salaires. Elles n’étaient pas inscrites au système de sécurité sociale. Certaines gardent aujourd’hui des séquelles physiques de ces longues journées éreintantes. Elles n’ont jamais osé protester et se persuadaient qu’elles devaient faire ça car elles avaient une dette envers Dieu. Ces femmes ont été pour la plupart recrutées par le groupe et séparées de leurs familles alors qu’elles avaient entre 12 et 16 ans. Elles estiment avoir été victimes d’emprise durant des années : coercition et menace spirituelle pour les pousser au travail ainsi qu’un contrôle constant de leurs relations avec le monde extérieur. Au bout d’un certain temps la plupart d’entre elles ont demandé à partir car les exigences physiques et psychologiques devenaient intenables. Elles se sont alors retrouvées sans argent et avec un fort besoin d’aide psychologique.
L’avocat des plaignantes soutient que c’est le reflet d’une politique interne institutionnalisée de l’Opus Dei car des problèmes similaires ont été recensés en Afrique, en Espagne ou au Mexique. Les plaignantes souhaitent obtenir des excuses publiques, une reconnaissance des abus subis, une réparation financière et une juste condamnation des responsables. Leur plainte déposée au Vatican vise en effet de nombreux dirigeants de l’Opus Dei pour leur participation aux sévices ou leur connaissance des traitements infligés. En l’absence de réponse du Vatican les plaignantes pourraient engager des poursuites pénales contre l’Opus Dei en Argentine et dans d’autres pays où elles ont travaillé.
(Sources : Associated Press, 12.11.2021 & Euronews,16.11.2021)
Effectuant la promotion des constellations familiales1 sur Instagram, Graciela del Campo Varra a posté une image dont la légende stipule notamment que la femme violée n’est pas une victime car elle a choisi ce destin dans le cadre du processus de guérison du système familial. Ce post n’a pas manqué de faire réagir les associations sud-américaines. Lire la suite
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