La Direction générale de la santé (DGS) publie un dossier sur le site du ministère du Travail , de l’Emploi et de la Santé sur les pratiques thérapeutiques, à savoir, les médecines alternatives appelées également médecines complémentaires, médecines douces ou médecines naturelles, ainsi que les pratiques non thérapeutiques telle « la médecine esthétique ».
Lire la suite
Santé
Belgique / » Des thérapeutes bidon ont tué ma mère «
Le magazine « Devoir d’enquête » sur la RTBF a diffusé le mercredi 12 janvier 2011 un « reportage choc » sur la nouvelle médecine germanique (nouvelle dénomination de la Méthode Hamer).
Lire la suite
Crimes et châtiments : les faux souvenirs
L‘ ADFI s’intéresse depuis quelque temps aux psychothérapies abusives, en particulier celles qui s’appuient sur la théorie de la mémoire retrouvée (Voir BULLES n° 69). C’est un terrain délicat : les souvenirs prétendument retrouvés sont généralement ceux d’abus sexuels subis pendant la petite enfance. Dans l’ambiance actuelle d’indignation légitime face aux délits pédophiles, il est risqué de paraître prendre la défense de leurs auteurs.
Il existe plusieurs raisons de considérer les accusations de crimes sexuels avec beaucoup de circonspection lorsqu’elles se produisent très longtemps après l’évènement supposé. Il faut tout d’abord se demander s’il ne s’agit pas de manipulation mentale. Ensuite, ces accusations sont l’une des armes utilisées par les sectes pour intimider les proches de leurs adeptes. Enfin il s’agit d’aborder la défense de la famille au point de vue légal.
Si les crimes ne peuvent être poursuivis au-delà de la durée de prescription (10 ans après l’âge de la majorité en France pour l’inceste), c’est que le législateur a reconnu la difficulté d’apporter des preuves plus le temps passe. Or la preuve est bien ce qui fait toute la différence entre l’accusation légitime et la calomnie malveillante.
Ces problèmes sont apparus plus tôt dans le monde anglo-saxon qu’en France avec pour conséquence que dans l’Angleterre toute proche, on assiste aujourd’hui à des phénomènes apparemment contradictoires. D’une part, la presse à sensation racole le public par de véritables chasses au pédophile. D’autre part, les politiques commencent à s’inquiéter des risques sérieux d’erreurs judiciaires. La fin de l’année 2001 a vu se produire deux interventions en ce sens par des représentants à la Chambre des Lords ainsi que la première réunion d’une commission inter-parlementaire. L’inquiétude des parlementaires britanniques peut se résumer en trois points :
Il prétend pouvoir guérir le sida avec des plantes
Le président d’une association périgourdine, qui compte plusieurs centaines d’adhérents, va être entendu par les gendarmes « qui agissent dans le cadre de l’instruction d’une plainte contre X déposée à Paris pour exercice illégal de la médecine et de la pharmacie et mise en danger de la vie d’autrui ». Il prétend pouvoir guérir le sida grâce à un « remède » à base d’une dizaine de plantes de Madagascar.
Lire la suite
Les « autres médecines » avec discernement
De plus en plus de malades « et de bien-portants » recourent aux médecines dites alternatives telles la naturopathie, la kinésiologie, l’auriculothérapie…
Ces disciplines seraient au moins 400 en France d’après la MIVILUDES. Georges Fenech, son président, précise comment procéder pour savoir si une pratique présente un risque sectaire. Il est ainsi recommandé de s’assurer que le psychothérapeute consulté figure bien dans un registre départemental sur lequel ne sont inscrits que les psychothérapeutes reconnus. Ensuite, il faut repérer si le thérapeute ne tient pas un discours anti-médecine conventionnelle et s’il ne présente pas son traitement comme une médecine de substitution. Enfin, il faut réagir si les tarifs sont excessifs. « Lorsque chaque nouvelle consultation est plus chère que la précédente ou quand le thérapeute propose des stages ou des cures à plus de 1.000 euros, il faut se méfier », conseille Georges Fenech.
Rappelons que le ministère de la santé a mis en place un groupe d’appui technique en février 2009, composé de 30 personnalités de diverses institutions, « il est chargé de recenser, d’identifier et d’évaluer les pratiques pour ensuite informer le public ».
Source : Direction Générale de la Santé & Interview de Georges Fenech repris par le site internet destinationsante.com, 02.02.2011
Dossier réalisé par le Direction générale de la Santé consultable en ligne.
Le chamanisme est-il une médecine ? (2ème partie)
Après avoir répondu aux questions de Bulles [Bulles n°108, pages 14 à 20, décembre 2010] sur le chamanisme traditionnel, mis en évidence la nature ambiguë du chaman, évoqué les croyances et rituels dont le personnage était tout à la fois le gardien, l’inspirateur et le maître d’œuvre, attiré également l’attention sur la préoccupation des anciens confrontés à la prolifération des usurpateurs, Guy Rouquet, président de [Psychothérapie Vigilance, aborde dans cet article la question des pratiques médicales chamaniques.
Une couverture vaccinale insuffisante
La rougeole est « la cible principale » de la Semaine européenne de la santé.
Santé : la folie des médecines douces
La Tribune de la Santé consacre un dossier élaboré avec le concours de plusieurs médecins sur ces médecines dites « traditionnelles » qui bousculent la médecine conventionnelle. Perçues comme moins toxiques, moins polluantes, moins invasives, elles sont considérées par 10 % des Français « comme l’une des découvertes majeures des vingt-cinq dernières années ». Certains hôpitaux les ont même adoptées « en complément ». Trois articles composent ce dossier.
L’Union Européenne réglemente les médicaments à base de plantes
A partir du 1er mai 2011, les citoyens européens peuvent être « rassurés » : les médicaments traditionnels à base de plantes qu’ils achètent dans l’Union Européenne « sont sûrs et efficaces ».
Lire la suite
Une huile « miracle » qui sent l’arnaque
Le Centre d’Accueil Universel (CAU) s’est installé à Saint-Denis de La Réunion dans un grand hangar blanc orné d’une croix et d’un symbole : un cœur rouge entourant une colombe blanche.
Lire la suite