Les Occidentaux « cherchant à faire vivre » artificiellement un chamanisme, se voient « contraints » d’inventer un néo-chamanisme en puisant à différentes sources pour élaborer « leurs croyances ».
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Le gourou sur le banc des accusés en 2014 ?
Le procès du gourou Gabriel Loison et de son ex-compagne, accusés de viols ou de complicité de viols et d’abus de faiblesse sur une mineure, qui devait s’ouvrir le 1er juillet 2013 et se poursuivre durant cinq jours, devant la cour d’Assises de Loire Atlantique, a été renvoyé. Une nouvelle audience pourrait être programmée en janvier 2014.
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Mensonge, sexe et omerta
Lyon Capitale revient sur l’affaire de Péronne (81), passée inaperçue dans les médias, exception faite du Courrier Picard (lire la synthèse précédente).
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Indemnités refusées
Le tribunal administratif de Nantes vient de rejeter une demande d’indemnisation de 7.000 euros présentée par la Scientologie à la ville d’Angers. La Scientologie devra en outre payer les frais de justice.
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Un montage juridique à démonter
En 1969, Gilbert Bourdin créait le Mandarom. Par la suite, le fondateur s’était rebaptisé Seigneur Hamsah Manarah de l’Ordre des Chevaliers du Vajra Triomphant de l’Aumisme.
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Les personnes âgées, cible des sectes
Depuis quelques années, la Miviludes reçoit au moins une fois par semaine la demande d’une fille ou d’un fils concernant ses parents âgés, et tous les jours, des signalements « à propos de méthodes, de produits et d’interventions suspects »…
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Dérives thérapeutiques et dérives sectaires : la santé en danger (Synthèse : 2è partie)
Dans le précédent numéro de Bulles, nous avons publié la première partie de la synthèse du rapport de la commission d’enquête du Sénat sur « l’influence des mouvements à caractère sectaire dans le domaine de la santé » ; elle concernait le constat de la dimension thérapeutique dans les groupes sectaires, les points communs entre les dérives sectaires et les thérapies déviantes et abordait un premier facteur démultipliant les dangers : le développement des pratiques non conventionnelles.
Editorial
« Nous ne pouvons pas admettre que des organisations totalitaires, qui font injure aux libertés fondamentales, en appellent aux mêmes libertés pour obtenir que leurs pratiques anti-démocratiques et contraires aux droits de l’homme soient protégées.[…] Afin d’empêcher que les autorités administratives et les tribunaux des états individuels ne soient abusés par des organisations totalitaires, nous avons besoin d’avoir une société civile éclairée et vigilante, tant au niveau local que national et international. » (Annelise Oeschger, ancienne présidente de la conférence des OING du Conseil de l’Europe).
Dès leur création, nos associations ont eu pour préoccupation d’informer les pouvoirs publics sur le fonctionnement totalitaire des groupes sectaires ; les victimes elles-mêmes ont pris la parole pour dénoncer les atteintes aux droits fondamentaux des personnes dans ces groupes, allant jusqu’à intenter des actions en justice contre le gourou ou l’organisation. Ces procès, longs, difficiles et très éprouvants, ont mis au grand jour un fonctionnement bien éloigné de celui d’un état de droit…
Certains pays se préoccupent de la question sectaire, par la prévention et la législation, d’autres n’y voient que l’exercice d’une liberté de croyance inaliénable. L’écho, dans les médias internationaux, de la condamnation de la Watchtower Society de New-York, lors du procès intenté par Candace Conti, semble cependant indiquer une prise de conscience par la société civile de la responsabilité pénale des organisations.
Alors mineure, Candace a subi des sévices sexuels de la part d’un Témoin de Jéhovah, pédophile récidiviste, appartenant à la même congrégation qu’elle ; en 2011, elle porte plainte à la fois contre l’agresseur, la congrégation où s’étaient déroulés les faits, et la Watchtower Society.
Le jury de la Cour supérieure du comté d’Alameda (Californie) a condamné l’agresseur et reconnu coupables de négligence les anciens de la congrégation et la direction du mouvement, condamnant cette dernière à près de 24 millions de dollars (la Watchtower a fait appel de cette décision).
Candace explique qu’en portant plainte, et en refusant un éventuel arrangement financier, elle a deux objectifs : protéger les enfants et encourager les victimes d’abus sexuels, ayant subi la politique interne du mouvement, à se manifester.
Minh Vacma
Créé au début des années 2000 par Alain Schmitt, surnommé le «gourou d’Algrange», Minh Vacma rassemblait en Moselle diverses personnes en mal de la société et quelques marginaux à qui Alain Schmitt prodiguait un enseignement destiné à assurer leur épanouissement personnel.
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Exorcisme et sorcellerie : actualité internationale
Australie / Symposium sur la sorcellerie
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