Le Tribunal administratif a donné tort à la Ville de Genève qui refusait depuis peu tout prosélytisme quelle que soit la religion ou l’organisation requérante.
Il lui a été précisé qu’elle ne pouvait pas interdire systématiquement son domaine public aux stands à caractère religieux.
Cet arrêt constitue un revers pour la municipalité genevoise qui avait pris cette mesure pour pallier l’explosion du nombre de ces demandes concentrées sur la ville : 134 requêtes en six mois.
(Source : 20 Minutes.ch, 23.03.2015)