Après avoir supprimé 17 profils de naturopathes aux pratiques controversées, Doctolib s’est engagé à effectuer « un travail de fond » avec « les Ordres, les syndicats de professionnels de santé, les autorités, la Miviludes et la société civile ».
Une réunion de travail a eu lieu le 5 septembre entre les équipes de la Miviludes et Doctolib, à l’issue de laquelle la Miviludes a convenu de la nécessité de former « aux dérives sectaires dans le domaine de la santé […] les acteurs de Doctolib » afin de les aider à « identifier les pratiques susceptibles d’être dangereuses ».
L’intersyndicale les Libéraux de Santé déplore qu’une plateforme telle que Doctolib « alimente un flou dans son offre entre professions de santé réglementées et acteurs du bien-être », flou qui peut causer « des pertes de chances pour les patients ».
(Source : lequotidiendumedecin.fr, 08.09.2022)
