Prise en charge alarmante dans un centre antidouleur d’un hôpital public

A la lecture du témoignage de Camille, on doit s’interroger sur la diffusion de théories non scientifiques au sein d’établissements publics. Ces théories mettent en danger la santé, et parfois la vie, des patients. Issues de croyances, en s’immisçant dans l’espace public elles constituent une atteinte à la laïcité.

Camille est atteinte du syndrome d’Ehlers-Danlos, une maladie du tissu conjonctif qui peut provoquer d’importantes douleurs chroniques. À l’heure actuelle, il n’existe pas de traitement curatif pour cette pathologie : « En soi, il n’y a pas grand-chose à faire à part de la kiné, de la musculation, des étirements… Il n’y a pas de traitement miracle », explique Camille. Subissant des douleurs handicapantes, la jeune
femme, d’un commun accord avec sa médecin généraliste, décide d’entamer un suivi au centre antidouleur de son CHU : « Je voulais voir si je pouvais mettre en place des choses pour m’aider à contenir la douleur ou à vivre avec, ou s’il y avait des traitements pour l’oublier un peu au quotidien ».

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  • Auteur : Unadfi
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