Le praticien, qui exerçait à Antibes, ne pourra plus pratiquer la biorésonance jusqu’à son procès, prévu fin juin 2024.
L’homme proposait des séances de biorésonance, une thérapie non conventionnelle par ondes électromagnétiques, et prétendait pouvoir prévenir des maladies comme le cancer. Le praticien aurait aussi tenu des propos susceptibles de détourner ses clients de la médecine conventionnelle et de la vaccination.
Sa pratique avait été signalée auprès d’une mission de lutte contre les dérives sectaires et de l’ARS. Selon Nice-Matin, qui a eu accès au rapport d’enquête, une perquisition menée au domicile du praticien a permis de saisir 240 fiches contenant des informations médicales sensibles comme les pathologies de ses clients.
(Source : Le Figaro, 02.02.2024)