Fairbridge Restored Limited, les Témoins de Jéhovah et Kenja Communication ont choisi de ne pas adhérer au programme national de réparation pour les victimes d’abus sexuels sur enfants. Ces structures ne sont plus éligibles aux subventions gouvernementales et pourraient perdre leur statut d’organisme de bienfaisance à des fins fiscales.
Kenja communication est un groupe de formation en communication. Il refuse de rejoindre ce programme stipulant qu’aucune preuve d’abus n’est avérée en son sein.
Fairbridge Restored, une ancienne école agricole qui proposait divers programmes éducatifs aux enfants, a été mise en liquidation et ne peut donc pas remplir les conditions du programme.
Enfin les Témoins de Jéhovah déclarent ne pas avoir adhéré car ils ne disposaient pas d’institutions séparant les enfants de leurs parents et affirment pouvoir répondre directement aux demandes d’indemnisation des victimes.
(Source : Sydney Morning Herald, 04.01.2021)