Le mouvement toujours dans le viseur des autorités

L’Agence de renseignements de sécurité publique japonaise a demandé une prolongation des mesures réglementaires contre Aleph, lui reprochant un manque de transparence sur ses activités.

Si la requête est validée par la Commission d’examen de la sécurité publique, Aleph, principal groupe ayant succédé à Aum, se verra de nouveau interdire l’usage de ses installations sur l’ensemble du pays, hors celles n’ayant qu’une vocation résidentielle. Et ce, pour une durée supplémentaire de six mois. Il ne pourra par ailleurs plus recevoir de dons.
L’agence reproche au groupe de ne pas avoir déclaré certains de ses actifs, en violation de loi visant les organisations impliquées dans des meurtres de masse. Elle estime que cette opacité l’empêche d’évaluer le risque de récidive.


(Source : The Japan News, 29.01.2025)


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  • Auteur : Unadfi