Le développement personnel trouve ses origines, entre les années 1920 et 1930, dans les travaux de Carl Jung et Alfred Adler. Depuis, coachs de vie, éducateurs ou responsables des ressources humaines puisent dans différentes pratiques dites de « développement personnel » : psychologie humaniste, pensée positive, analyse transactionnelle, coaching, programmation neurolinguistique, etc. Cette « discipline » recouvre des réalités différentes selon les domaines et suscite de nombreuses critiques car quelques gourous New Age ont dévoyé ses principes.

Aucune méthode de développement personnel n’est miraculeuse mais les applications notamment dans le domaine de l’entreprise ont permis à certains d’améliorer le vécu ou la motivation.

La méfiance vis-à-vis du développement personnel est née à cause d’individus peu scrupuleux qui ont abusé de la naïveté et de la confiance de personnes fragilisées. En France et en Europe, les professions liées au développement personnel n’est pas réglementé et il convient, avant de s’engager dans une expérience qui vous promet « monts et merveilles », de consulter les organismes spécialisés sur les pratiques sectaires.

(Source : Grazia, 17.02.2016)

[À raison, le développement personnel est fortement connoté new age. C’est une porte d’entrée avérée pour les groupes à caractère sectaire et représente près de 20% des cas signalés à l’UNADFI. Lire sur son site : 

– Stratégie de secte: infiltrer l’entreprise par les organismes de développement personnel : https://www.unadfi.org/domaines-infiltration/formation-professionelle/strategie-de-secte-infiltrer-lentreprise-par-les

– Développement personnel et coaching : https://www.unadfi.org/domaines-infiltration/sante-bien-etre/psychotherapie-et-developpement-personnel/developpement ]