Pendant que l’enquête sur les essais cliniques illégaux suit son cours, le professeur Fourtillan poursuit ses activités

Fin novembre, le professeur Fourtillan s’est exprimé devant les caméra de France 3 Nouvelle-Aquitaine pour dénoncer la présence d’aluminium dans les vaccins et s’expliquer sur les essais cliniques illégaux qu’il menait depuis un an sur près de 400 patients souffrant entre autre des la maladie d’Alzheimer et Parkinson.

Il affirme que contrairement à ce qui avait été dit dans la presse, lui-même et les 400 personnes participant aux essais ont fait une collecte pour payer les patchs. Selon lui, 15 millions d’euros auraient été investis dans les recherches et les tests. Il a en outreb ajouté avoir « toujours dit la vérité » et « indiqué que ce n’était pas un médicament ».

Cependant, le 13 novembre, lui et cinq autres personnes ont été mis en garde à vue et auditionnés au commissariat de Poitiers par l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé. Cette audition faisait suite à une perquisition réalisée dans le cadre de l’information judiciaire ouverte suite à la découverte des essais illégaux.

Interrogé par France 3, l’Ordre des pharmaciens, qui s’est porté partie civile contre le professeur Fourtillan, a précisé que ce dernier n’est plus inscrit à l’Ordre. Tout cela ne l’empêche pas de poursuivre ses activités militantes contre la vaccination. Le 22 novembre 2019 des sympathisants et lui ont manifesté devant le ministère de la Santé.

(Source : France 3 Régions Nouvelle-Aquitaine, 28.11.2019)

Lire sur le site de l’Unadfi : Le professeur Joyeux, impliqué dans un essai clinique illégal ? : https://www.unadfi.org/domaines-dinfiltration/sante-et-bien-etre/pratiques-non-conventionnelles/le-professeur-joyeux-implique-dans-un-essai-clinique-illegal/

  • Auteur : Unadfi