La bienveillance ne remplace pas la compétence

Ce témoignage nous a été donné par une diététicienne nutritionniste.

Tandis que le soin diététique n’est pas pris en charge par l’assurance maladie, mais mélangé avec les forfaits « Bien Être » de certaines mutuelles, les pratiques de soin non conventionnelles (PSNC) font leur entrée en force dans les établissements hospitaliers, en soins de support en oncologie ou même dans des parcours d’aide à des victimes de violences sexuelles, ce qui vaut une légitimation de leur efficacité et donc toujours plus de confusion chez les patients dans l’offre de soins.
Mon propos ne pourra pas, pour des raisons déontologiques évidentes, exposer mes patients, mais le parcours de nombre d’entre eux atteints de maladies chroniques présente des similitudes avec le mien avec, par exemple, l’exposition systématique aux « régimes sans ». Utilisons donc mon parcours.

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  • Auteur : Unadfi
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