Faux souvenirs induits

Ces femmes que des thérapeutes ont conduit à croire qu’elles avaient été abusées par leurs parents*

* Certains prénoms ont été changés

Résumé d’un article sur le rôle de thérapeutes dans la production de faux souvenirs chez les patients. Abordant plusieurs cas, de différents points de vue, la journaliste du Daily Mail expose avec clarté le phénomène des faux souvenirs et les conséquences dévastatrices qu’une mauvaise thérapie peut avoir sur les patients et leurs familles.
 
Le cas de Carol[1]

Carol Felstead, une infirmière de 21 ans, avait consulté pour des maux de tête. On a réussi à la convaincre que sa famille était un groupe de satanistes meurtriers.
Il n’y avait aucune équivoque dans ses propos lorsqu’elle accusait sa famille : elle a raconté en détail la nuit où sa mère aurait assassiné sa sœur aînée avant de mettre le feu à la maison pour faire disparaître les preuves. Et pourtant, pas une seule de ces accusations n’était vraie. Elle est l’une des milliers de victimes du syndrome des faux souvenirs. Pour son frère, le Dr Kevin Felstead, 53 ans, ancien professeur d’université de Stockport, Cheshire, n’importe qui peut prendre des cours de psychothérapie en ligne et recevoir l’accréditation pour exercer après seulement deux semaines de formation. Des jeunes femmes vulnérables, telles que ma sœur, peuvent alors tomber entre leurs mains. (…)

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