La psychothérapie psycholytique

Le Ministère public de Soleure vient d’ouvrir une enquête sur Samuel Widmer, psychiatre et fondateur de la communauté des Fleurs de cerisier à Nennigkofen-Lüsslingen. Le médecin est soupçonné d’avoir, depuis 30 ans, soigné ses patients à l’aide de substances illicites comme le LSD ou l’ecstasy. Au sein de sa communauté, il aurait formé des centaines d’adeptes à sa méthode, la psychothérapie psycholytique.

Lire la suite

Les virus tuent, l’obscurantisme aussi

Quand l’Ebola a touché l’Afrique, les équipes de soignants ont dû faire face aux superstitions entretenues par les populations privées de savoir scientifique. Mais l’obscurantisme a également son pendant dans nos sociétés « éduquées ». L’effritement du taux de vaccination qui se développe au Canada, aux Etats-Unis, en France et en Allemagne l’atteste.

Lire la suite

Les Sages ont tranché : la vaccination demeure obligatoire en France

Marc et Samia Larère avaient saisi le Conseil constitutionnel afin de contester l’obligation de vaccination pour leurs enfants. Les Sages ont estimé qu’ils devaieent se conformer à la législation actuelle estimant que la vaccination obligatoire des enfants était conforme à « l’exigence constitutionnelle de protection de la santé ».

Lire la suite

Internet

Le décret sur le déréférencement des sites(1) faisant l’apologie du terrorisme ou diffusant des images à caractère pédopornographiques sur les moteurs de recherches est paru au Journal officiel le 5 mars 2015, complétant le dispositif de blocage de sites déjà en vigueur.

Lire la suite

Caractériser un abus de faiblesse

L’abus frauduleux de l’état de faiblesse est un fait de société de plus en plus médiatisé – le dossier de l’affaire Bettencout en est le plus célèbre exemple. Il se définit légalement comme le fait de profiter de la particulière vulnérabilité d’une personne afin de la conduire à faire des actes ou s’abstenir de faire des actes, ayant des conséquences particulièrement préjudiciables pour cette même personne. Il est réprimé par l’article 223-15-2 du Code pénal et puni de trois ans d’emprisonnement et de 375 000 euros d’amende.

Lire la suite