Jean-Michel Roulet est interviewé à l’occasion de la sortie de l’ouvrage de la MIVILUDES « Le satanisme, un risque de dérive sectaire ». Il rappelle que les jeunes qui vivent dans un « imaginaire sataniste » peuvent être ensuite recrutés par des groupes violents et dangereux.
Les délits liés au satanisme restent rares et sont difficiles à évaluer. Le Président de la MIVILUDES observe en effet que les enquêteurs n’ont pas forcément les éléments pour faire le rapprochement entre certains suicides d’adolescents et des dérives « sataniques ». Quelques dizaines de cas peuvent être recensés chaque année, mais il y en a certainement plus.
Source : Ouest France, Bernard Le Solleu, 19.10.2006