La Cour d’appel de Versailles, dans son arrêt du 24 juin, a relaxé Jacques Myard des faits de diffamation publique à l’encontre de l’association de la Fédération chrétienne des Témoins de Jéhovah.
En première instance le député avait été condamné suite à une interview accordée à Le Point.fr dans laquelle, à travers l’expression « enfermement des enfants », il évoquait l’isolement social et non la séquestration comme l’ont prétendu les Témoins de Jéhovah.
Source : Communiqué de presse de Jacques Myard, 29.06.2010