Une étude, intitulée Science vs. Conspiracy, menée par des chercheurs italiens s’est intéressée aux adeptes des thèses conspirationnistes et à la manière dont les informations se diffusent et s’enracinent sur les réseaux sociaux.
L’étude a porté sur un échantillon de 1,2 millions d’internautes. Les chercheurs ont répertorié, sur les réseaux sociaux, les sources d’information scientifiques et les sources alternatives à tendance conspirationniste. D’après les commentaires et les « J’aime », ils ont constaté que 80% des internautes prenaient les informations erronées au premier degré.
(Source : Metronews, 01.06.2015)