Les poursuites déclarées irrecevables

La 16e chambre de la cour d’appel de Bruxelles a déclaré les poursuites irrecevables dans le dossier OKC1, communauté bouddhiste répertoriée comme secte. Plusieurs de ses dirigeants étaient poursuivis pour des faits d’escroquerie, prise d’otages d’enfants, abus sexuels, infraction à la législation du travail et blanchiment d’argent. Lire la suite

Jugement en appel d’OKC

Après trois mois d’audience, l’avocat général de la cour d’appel de Bruxelles a requis une peine minimum de quatre ans de prison à l’encontre de Robert Spatz, leader d’OKC1, confirmant ainsi la peine infligée en première instance. Il est poursuivi pour des faits de viols, d’escroquerie et de blanchiment d’argent. La décision sera rendue en septembre prochain.

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OKC, une communauté bouddhiste en procès

Le 4 janvier 2016 s’ouvrait, devant le tribunal correctionnel de Bruxelles, le procès de la secte Ogyen Kunzang Chöling (OKC)1. Après une instruction de 18 ans, le fondateur, Robert Spatz, principal inculpé, et dix autres personnes physiques et morales ont comparu pour escroquerie, extorsions, fraudes, faux et usage de faux, séquestrations, tortures corporelles, viols et abus sexuels sur mineures. Alors que la défense invoque l’absence de preuves, les témoignages de jeunes adultes nés dans la secte ont incité d’anciens adeptes à se joindre aux parties civiles. Le jugement est attendu le 15 septembre prochain.

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Que sait-on de ? OKC

La communauté Ogyen Kunzang Choling a été créée par Robert Spatz dans les années soixantedix. Elle séduit les couples et les familles à la recherche d’une vie spirituelle inspirée par la sagesse bouddhiste et par la nature.

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Le procès

Le tribunal correctionnel de Bruxelles a entamé le procès de la secte OKC (Ogyen Kunzang Chöling) le 4 janvier 2016. Robert Spatz, le fondateur de cette communauté d’inspiration bouddhiste, qui se fait appeler Lama Kunzang Dorjé, est le principal inculpé. Lui et dix autres personnes physiques et morales comparaissent pour escroquerie, extorsions, fraudes, faux et usage de faux, séquestrations, tortures corporelles, viols et abus sexuels sur mineures. L’enquête, débutée en 1997, a mis des années pour mettre à jour cette organisation tentaculaire ancrée en Espagne, en France et en Belgique. Elle a révélé que Robert Spatz exerçait une emprise sur ses victimes et abusait de son autorité.

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