Nouvelles mises en examen dans l’affaire des  » Reclus de Monflanquin « 

A l’automne 2001, onze membres de la famille Védrines s’étaient coupés du monde sous l’influence d’un « gourou », Thierry Tilly. Reclus pendant huit ans, ils auront été dépouillés de tous leurs biens, « apparemment » au bénéfice de Thierry Tilly. Ce dernier, interpellé en Suisse en octobre 2009 et actuellement incarcéré à Bordeaux, est poursuivi pour escroqueries, abus de faiblesse, extorsion de fonds, séquestration avec actes de torture et de barbarie.
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Toute une famille mobilisée

Nadine, professionnelle de santé, a été entraînée en quelques mois, avec son compagnon, dans un enfermement psychologique qui a failli la conduire en hôpital psychiatrique, avec des risques pour sa carrière.
Constatant des changements incompréhensibles dans la vie et les relations du couple, l’entourage a réagi rapidement, s’informant pour comprendre, prenant conseil auprès de l’ADFI locale sur les attitudes à adopter face à une telle situation, et essayant d’agir ensemble.

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Belgique / Un psychothérapeute en procès

Un psychothérapeute en procès Louis Vliegen, 55 ans, assistant social de formation et… psychothérapeute, fait l’objet d’un procès à Liège pour « exercice illégal de la médecine, coups et blessures involontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner et escroquerie ».
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Le gourou présumé des Reclus de Monflanquin condamné

A l’automne 2001, onze membres d’une même famille, les Védrines, ont vécu reclus dans leur propriété de Monflanquin dans le Lot-et-Garonne. Ils y resteront jusqu’en 2008, date à laquelle certains rejoindront à Oxford (Grande-Bretagne) leur « gourou » présumé, Thierry Tilly. Ce dernier est soupçonné de les avoir manipulés et ruinés : en huit ans les Védrines ont ainsi été dépouillés de leurs biens. Le bénéfice que pourrait en avoir tiré Thierry Tilly est estimé à 4 millions d’euros. Trois personnes sont mises en examen dans ce dossier.
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Vente en réseau et risque d’emprise

Nos associations sont régulièrement contactées par des familles dont l’un des membres s’est lancé dans une activité de vente en réseau. Qu’il s’agisse de cosmétiques, de proposition de régime, de téléphonie, de produits d’entretien, de vêtements, d’objets de décoration, le principe est toujours le même. Il s’agit de présenter le produit à des personnes qui l’achèteront et sont susceptibles de devenir des vendeurs, vendeurs qui recruteront à leur tour. Chaque participant recevra une commission en fonction de ses propres ventes, du nombre de vendeurs recrutés et de l’étendue de son réseau. Les gains annoncés sont exceptionnels, mais il y a loin du rêve à la réalité. Obsédés par un profit qui tarde à venir, certains participants en viennent à ne plus vivre que pour leur société. On peut alors parler de risque d’emprise. Comment le système se met-il en place et peut-il conduire à des dérives ?

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